L’âme profonde de Berthe était pour Georges un labyrinthe compliqué avec des chausse-trappes, des portes dérobées, des murs coulissants, des pièges insondables et même des sables mouvants…
Il s’y égarait souvent par curiosité, mais ce jour-là, il renonça définitivement à en sortir.
Mots-clefs : chausses-trappes, Georges, L'âme profonde, labyrinthe, portes dérobées, sables mouvants, ßerthe
Janine Kotwica scripsit: 533 – Saepe Bertha variat : insanissimus Georgius qui ei fidet.