Il arrive un temps où l’on joue sa dernière carte, Georges se demandait à quel moment tout avait bifurqué, le détail infime, invisible en tout cas, qui avait fait changer de trajectoire.
On s’en rend pas compte immédiatement, c’est quand l’écart apparait que l’on s’inquiète, mais on persiste, on préfère oublier.
Quand on y songe plus tard, bien trop tard, la carte est devenue destin.
La vie brève |