Dans la salle d’attente, je feuillette « Le Monde » daté du 1er août dernier : Des physiciens piègent des photons dans une boite noire puis les libèrent dans la nature sans précaution. Il est question de bizarrerie quantique, de cristal dans lequel sont prisonniers des cristaux de prasèodyme et de physiciens allemands.
Il y a encore une personne à passer avant moi. Il a l’allure quantique, vaguement binaire, peut-être germanique.
Après m’avoir observé sans aménité, il me demande de lui rendre son journal. La porte s’ouvre, il disparaît.
Je suis resté tout seul avec mes photons.
Mots-clefs : binaire, cristaux de prasèodyme, photons, quantique
Quando flavae feminae odor?