Georges, un prénom à guigne, tandis que le Papatruc chute, le notre revient après des années d’errance et trouve son pays en plein KO.
Il fut soldat dans une guerre d’orient interminable puis marin forcé, petits boulots aux escales, débardeur, berger, tavernier, contrebandier, tout ce qui s’offrait dans les îles. Ce fut l’exil à l’étranger, il connut des femmes, des ensorceleuses surtout, et des amis d’occasion, enfin l’enfer de la dèche et ce retour…
Le poète l’écoute : « de cette histoire, on fera un bestseleur »… Il n’est pas aveugle, mais il voit loin…
Georgius, Ulixes novus? Quidni?