Avec Georges, nous sommes revenus à l’arbre aux verrues, nous grimpions autrefois de bosse en bosse jusqu’à la branche maîtresse, on s’asseyait, on regardait le monde, on mâchait des grains de blé, des cerises aigres ou des prunelles grappillées dans les haies, on pissait même de là-haut, dans la rivière. L’arbre est creux à présent,…
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