Là-bas, des fontaines, chaque place, chaque mail, chaque cour ou recoin a la sienne. On s’y rafraîchit vers quatorze heures, les enfants éclaboussent les gardes civils, les oiseaux picorent quelques gouttes, des bœufs fauves y trempent leurs fanons. Elles sont surmontées de lansquenets pimpants, de plantigrades héraldiques et boursouflés, d’hermaphrodites timides et empruntés, d’obscurs prédicateurs…
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