Parmi les fréquentations de hasard de Georges figurait un certain Spyridon dit « El Greco », amateur de fados et de rébétika. Il avait une vague parenté avec l’un des hétéronymes de Fernando Pessoa et un cousinage obscur d’une branche cadette des princes Paléologue de Byzance. Cela avait justifié à ses yeux l’ouverture d’un « cabaret méditerranéen » dont…
Lire la suite »