Je n’étais pas le seul à considérer qu’à cette époque déjà, Georges ne maîtrisait plus vraiment la situation…
Lire la suite »La vie brève
111. A un fil
dimanche 13 juillet 2008110. Décollage horaire
samedi 12 juillet 2008Il nous fallut quelque temps, après notre retour de Bogota, pour dissiper les effets du décalage horaire…
Lire la suite »109. A cinq heures du soir
vendredi 30 mai 2008Ainsi, ils s’en allaient le long du paséo de la lagune… C’était le temps des confidences, des regards dérobés, des frôlements complices… J’ai encore dans l’oreille le chuintement des pas glissés… À présent, le quai est désert, et je me perds dans la marelle tracée à la craie par un enfant qui vient de fuir…
Lire la suite »108. La paix de Junon
jeudi 29 mai 2008C’est ridicule, cet animal n’avait nullement l’intention de vous offenser, le voici repentant, à vos pieds… Il a été maladroit, ses paroles ont dépassé sa pensée… Mais votre froideur à son égard, ce ton hautain, cette façon de monter sur vos ergots… Allons, venez mes petits, venez tous deux manger dans ma main…
Lire la suite »107. Solidarité du vivant
mercredi 28 mai 2008Son petit cœur de reptile anguimorphe à trois cavités était mien, je sentais comme les siens, mes flancs se soulever, ses deux pénis (hémipénis) me troublaient un peu… mais… Le frais du soir nous engourdissait, nous allions passer la nuit en symbiose, l’un contre l’autre, dans ce foutu coin perdu… Et demain matin, de nouveau…
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