
Que te dire d’Elèna?
Elle avait le génie pour les rendez-vous manqués, elle inventait quantité d’obstacles, de chausse-trappes, d’ambiguïtés.
La rejoindre était devenu une gageure, puis même une raison d’être pour la bande.
Qui serait le premier et peut-être l’unique? On tentait sa chance.
Je ne me souviens plus à quel moment on s’est lassé, l’un après l’autre, plus le goût, plus le temps, le jeu s’était usé.
La bande s’est disloquée, puis ce fut l’été…
Es-tu sûr que c’est cette Elèna là que tu as retrouvée?
Je n’en sais pas plus,
j’ai tellement navigué depuis, et loin
Alors, c’est toi qui a gagné.
Ce dessin me trouble : c’était le prénom de ma mère…
Bonjour Daniel, Eva
Je profite d’ Eléna 1010 pour vous souhaiter une bien belle année,
de bons vœux de bonheur de sérénité, de créativité et bien sur ( comme on dit sur le marché)
de santé ! (il ne faut pas l’oublier celle-là !).
Si vous voyez Jean Louis, transmettez lui aussi, mes « bons » vœux… (Je n’ai pas ses coordonnées !)
Je vous embrasse Jacques Gaïotti
J’aime beaucoup. Merci Daniel pour cette poésie en dessin et en mots!
Amitié
Y a-t-il un mystère féminin ? J’ai tendance à le croire. Ce n’est qu’une croyance (moins dangereuse que beaucoup d’autres) et non pas une preuve. Et parfois tellement agréable.
Et si nous étions toutes, parfois un peu/un peu plus, ou même totalement, Elena?
En pied en l’air, juste avant de tomber du piédestal?