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947. Montaigne (V) A propos de nos amis disparus…

mercredi 8 janvier 2020

« Depuis ce jour où je l’ai perdu, je ne fais que traîner languissant; les plaisirs qui s’offrent à moi, au lieu de me consoler, redouble le regret de sa perte » ( I. XXVIII)

Sur l’Amitié, Etienne de La Boëtie

2 commentaires sur “947. Montaigne (V) A propos de nos amis disparus…”

  1. Que sont mes amis devenus, que j’avais de si près tenus, et tant aimés;… ; Ils ont été trop clairsemés…

  2. Le dessin est très beau et déchirant. Oui, c’est ainsi, on tient la main de ceux que l’on aime et soudain on est seul sur le chemin.
    Merci.

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