C’était la meilleure place, aux pieds du Grand Imprécateur, pour observer les allers et retours, d’une rive à l’autre, des lourds bateaux amenant et ramenant les travailleurs. De l’autre côté, les entrepôts, les bureaux, les usines et ici, la ville ancienne qui, à cette heure se réveille et s’ébroue. Sur le débarcadère, tandis que les passagers se dispersent, il retrouve L. Ils connaissent le trajet, ils iront où tu sais, manger le ragoût de poulpes et boire l’admirable vin des collines. Le poète aveugle est déja là, au fond de la salle, plus tard, il chantera le grand Retour des Caravelles et la fin tragique de l’Amiral.
Cet article a été publié
le lundi 8 avril 2019 à 11 h 35 min et est classé dans La vie brève.
Toujours la même poésie envoûtante des voyages et d’un regard neuf !
Et on se laisse emporter !
Et déjà le rêve nous emmène pour la journée,
pour un nouveau départ et de nouveaux fantasmes…
Merci Daniel…
Cher Monsieur Maja,
Quel « long » fleuve poétique que votre vie « brève » !
On voudrait volontiers quitter notre monde réel pour le vôtre.
Et toujours votre perfection graphique…
Merci
Bernard Pailhès
site d'alain hervé | écologie, journaliste et écrivain, un très grand et ancien ami, créateur du Sauvage et des Amis de la terre, une conscience écologique
Time To Philo | l’actu vue par les philosophes sous l’oeil de Gaspard Koenig avec des dessins de D. M.
Toujours la même poésie envoûtante des voyages et d’un regard neuf !
Et on se laisse emporter !
Et déjà le rêve nous emmène pour la journée,
pour un nouveau départ et de nouveaux fantasmes…
Merci Daniel…
Le roman (oublié) de René-Victor Pihles… celui d’Antonio Lobo-Antunes… Gracq … Pratt…
Mais non… Maja !!
Jack
Cher Monsieur Maja,
Quel « long » fleuve poétique que votre vie « brève » !
On voudrait volontiers quitter notre monde réel pour le vôtre.
Et toujours votre perfection graphique…
Merci
Bernard Pailhès