Fin d’après-midi, Georges se rend au pavillon de l’Ouest.
C’est aujourd’hui le printemps, il fait encore frais, Georges a enfilé son peignoir brodé.
Les oiseaux de présage sont revenus, il note dans son journal leurs figures de vol, leurs glissades, leurs piqués, certains s’assemblent en un nuage sombre puis se déploient en arabesques mouvantes, d’autres se perchent et attendent.
Georges consulte les tablettes en buis, puis les fait claquer joyeusement.
Alors vient la nuit jaune.
La vie brève |
Georges, les jonquilles, les oiseaux des aruspices et les giboulées suivent le comput grégorien, donc… Les chats restent païens ne comptant pas même les lunaisons, sans doute, quoique?