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804. L’occasion…

mardi 1 mars 2016

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Au retour de sa promenade, Georges trouva la porte du Jardin des Bassano ouverte.
C’était la première fois depuis sa venue dans la cité, il y a plus de trente ans. Le jardin, il le connaissait par les gravures anciennes qu’il collectionnait : les gardiens de pierre, le labyrinthe de buis, les pattes d’oie, la marelle qu’on doit parcourir à cloche-pied, les symboles hermétistes et les sentences gravées sur les pierres : « Au milieu du chemin, ayant perdu la voie droite, je me trouvai dans une forêt obscure (una selva oscura) »
Des herbes folles l’avaient envahi, des lierres et des lianes enserraient le pavillon baroque, au fond, dont la porte aussi était ouverte. Georges entra et s’embusqua derrière une statue, il attendait la suite…

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