Georges ne se souvient jamais de ses rêves, le matin, il lui en reste des cendres qui vite se dispersent.
Mais qu’un ami ou une rencontre de hasard lui racontent leurs songes, alors Georges y reconnait des détails, des bribes, un nom, une parole comme s’ils étaient siens.
Georges est un rêveur creux et ubiquiste, et c’est très rare.
« Somniorum cineres », qualis magnificus tropus!