Georges aurait pu…
– naître Sagittaire en 1937 à la Roche-Guyon au pied du château de La Rochefoucauld.
– être un condottiere, un Gattamelata ou un nouvel Alexandre.
– Se réincarner en cheval crème à Chantilly comme le Grand Condé.
– Jouer le 6412 au tiercé de Vincennes sur terrain boueux, rafler la mise et s’établir sur la côte ligure dans un palais baroque à l’abandon, et les vagues viennent lécher les pieds des Hercules-caryatides soutenant le balcon boursouflé donnant sur la mer…
– Avoir un frère jumeau monozygote et inconnu qui se serait prénommé Georges, lequel aurait disparu un matin de février au guidon de sa mobylette et ne serait jamais revenu, si bien que Georges aurait pu n’être pas Georges ni naître Georges…
Mystère et boule de génome…
Mots-clefs : condottiere, côte ligure, Gattamelata, Grand Condé, la Roche-Guyon, La Rochefoucauld, monozygote, Sagittaire
Ultra posse nemo obligatur, ne Georgius quidem.
On ne naît pas Georges, on le devient.