Georges dit :
« j’ignore ce qu’on a gagné, mais je sais ce qu’on a perdu : le temps lent de la lecture, les longues lettres où l’on détaillait par le menu la vie des proches, les poèmes, appris par cœur à la Communale, l’ennui nécessaire, le goût âcre du café toujours au chaud sur la cuisinière… »
Il ajoute :
« On ne savait pas que c’était gratuit… »
La vie brève |
Tempora mutantur, eheu! et nos non mutamur in illis…