Alors que Georges se délassait d’une longue promenade dans les alpages, un sonneur passa qui lui offrit un Glockenspiel de sa façon. Ce concert de sonnailles lui évoqua quelque chose de très ancien et d’oublié. Georges passa le reste de sa soirée à se demander quoi, puis il s’endormit sur cette interrogation, laissant le soin au Rêve d’y répondre.
Mots-clefs : alpage, Glockenspiel, sonnaille
A propos, quelques questions au sage qui baigne ses pieds dans le ruisseau. Dans l’éther de nos rêves imbriqués, les images des particules dépassent-elles de 6km/s la vitesse de la lumière? Ou seulement sous les montagnes, de Suisse en Italie? Les particules du Rêve sont-elles diffuses à travers une forme involuée d’espace-temps? Pratiquent-elles l’intrication? Pourquoi d’ailleurs parle-t-on d’un « rêve intérieur », sinon pour dire qu’il est contenu dans un autre rêve? Combien de couches explorables? (etc.) Juste pour aider à clarifier un peu la réflexion de ce grand nonchalant de Georges.
Tintinnabulum Georgii memoriam frustra titillavit.