Les jours où on était fauché, on allait traîner sur la plage, il y avait toujours quelque chose à voir, à écouter ou à partager…
Des sardines et les calamars grillaient au feu de bois d’épaves, les coques et les couteaux, on les laissait cuire dans les braises…
Dans l’oreille, j’ai encore la « jota de Pancho » qui nous servit bien plus tard et dans d’autres circonstances, de ralliement…
Et cette fille, la « Démone de la playa » qui est devenue mormone ou adventiste du 7e jour… c’est Georges qui m’a raconté ça…
La vie brève |