9 commentaires sur “852. Paris-Versailles”

1. kotwica dit :

   3 juillet 2017 à 15 h 17 min

   Compendarium sequi…

2. graham webb dit :

   3 juillet 2017 à 15 h 51 min

   Celerior quam currus festinans, valentior quam elephas bellicus Punicus, potis anomala verba sine lapsu declinare, Macronissimus est.

3. Catherine Guilyardi dit :

   3 juillet 2017 à 16 h 04 min

   Traduction svp ?

4. yro dit :

   3 juillet 2017 à 21 h 10 min

   Toujours ce complexe français du croquant…
   Dans les monarchies de l’Europe – et chez ceux qui de son seuil, dos tourné, la dédaigne avec hauteur- on n’a pas ces distances honteuses et ulcérées avec son histoire!

5. Michel Dubré dit :

   4 juillet 2017 à 1 h 04 min

   Versailles-Paris: 16, 9 km… Ça roule mieux dans l’autre sens!

6. Daniel dit :

   4 juillet 2017 à 10 h 35 min

   Le Président Macron commet une erreur magistrale !
   Il fixe les objectifs et le Premier ministre doit trouver comment les atteindre.
   Mais, ces objectifs correspondent-ils aux désirs/besoins des français : motus.
   Avons les ressources humaines, techniques, financières pour les atteindre : motus
   Je vois souvent des projets bancals, mais dans le genre, le projet présidentiel est bien placé !

7. yro dit :

   4 juillet 2017 à 12 h 13 min

   Devinette.
   Qui a fait un chèque en blanc au porteur pour acquérir auprès d’un artiste une sculpture le représentant, dont il ne lui fut alors donné à voir que le contour général sous l’emballage et clame ensuite, alors que l’objet lui est progressivement dévoilé, que la matière, la couleur et la ressemblance ne sont pas conformes?
   Choisir l’artiste, c’est accepter l’oeuvre, non? Au moins jusqu’à ce qu’elle se casse si une paille était dans la fonte.

8. graham webb dit :

   4 juillet 2017 à 20 h 02 min

   Plus vite qu’un chariot express, plus fort qu’un éléphant de guerre de Carthage, capable de conjuguer sans faute des verbes irréguliers, c’est Macronissimus

9. yro dit :

   9 juillet 2017 à 15 h 42 min

   … Mgr. E. Cromagnon me redira (gratis) : « Macrono magno rege Deo gratias! »