Georges renoue avec l’ethnologie de terrain qu’il avait pratiquée à l’âge d’or des années tristes et tropicales.
Il avait à cette époque furtivement rencontré Castaneda, tâté du bourgeon de peyotl, échangé l’herbe du diable et la petite fumée, s’était ensauvagé chez les derniers Ahuracas en voie d’extinction dont il décrivit les moeurs douces et polygames, leur goût pour la paresse et les charades, leur talent pour la comedia del arte et le tango, leur science des herbes et leur anarchisme tranquille. Son livre, illustré d’admirables aquarelles, de dessins, de croquis savoureux et de planches de botanique, fut ignoré. On l’oublia, lui et ses indiens.
Georges alors poussa sa vie comme il put, c’est à dire sans éclat, en taoïste sceptique et souriant.
Et maintenant, revenu de tout,il part au loin à la chasse aux souvenirs…
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