Lorsque le spleen le prenait, Georges s’en délivrait en jouant de son cor des Alpes (Alphorn) de trois mètres soixante, ses seize notes et ses trois octaves se déployaient en volutes mélancoliques qui faisaient frissonner l’âme et protester les voisins auprès du syndic de la copropriété.
Nota : L’érudit Wiki Pédia précise que Léopold Mozart, papa de Wolfgang a composé une pimpante « Sinfonia Pastorella pour Alphorn et orchestre à cordes » (Allegro, Andante Presto, Presto).
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De ce côté du Léman, les décrets municipaux n’autorisent à en jouer en ville que brièvement le premier mercredi du mois à midi. Mais alors tout le monde se déchaîne, avec ou sans Mozart.
A! Alporum bucina in silvarum profundo!