La vie brève |

441. Labyrinthe…

jeudi 1 octobre 2009

Parvenus au bout, après tant d’écarts, de chausse-trappes, de fausses pistes, ils devisèrent sur le bien-fondé de tant d’efforts et ils furent découragés…
L’air était doux, c’était un début d’automne, des martinets rasaient les arbres, Georges se souvint qu’il avait pincé ses potirons, depuis le temps, ils devaient être énormes, et son âme tiède déborda de tendresse végétale…
Dédalus, lui, n’était déjà plus là, il explorait ses rêves…

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