Parfois passent des derviches tourneurs, fraiseurs, tambourineurs…
Puis tout retombe dans le silence… froissis d’une palme, murmure de la fontaine du patio… l’odeur du café qu’on vient d’apporter… attendre que le marc se dépose au fond de la tasse pour y porter les lèvres…
Dehors, l’air chaud vibre…
Je me suis assoupi, la chute de mon stylo sur le carrelage m’a réveillé.
Mon dessin est inachevé, tant pis…
La vie brève |