Ainsi, ils s’en allaient le long du paséo de la lagune…
C’était le temps des confidences, des regards dérobés, des frôlements complices…
J’ai encore dans l’oreille le chuintement des pas glissés…
À présent, le quai est désert, et je me perds dans la marelle tracée à la craie par un enfant qui vient de fuir…