La vie brève |

109. A cinq heures du soir

vendredi 30 mai 2008

Ainsi, ils s’en allaient le long du paséo de la lagune…

C’était le temps des confidences, des regards dérobés, des frôlements complices…
J’ai encore dans l’oreille le chuintement des pas glissés…

À présent, le quai est désert, et je me perds dans la marelle tracée à la craie par un enfant qui vient de fuir…

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