De sa famille autocrate russe, il avait gardé la morgue et la suffisance mais en avait perdu la pitié et la générosité. Le temps des moujiks étant révolu, son régisseur licencié pour faute de goût l’attaqua devant les prud’hommes pour violences abusives, heures supplémentaires non payées, dourakineries, incitations à l’ivrognerie et à la débauche.
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