El Torero avait imposé à son fils une éducation spartiate, pour l’endurcir, il le trempait le matin dans les eaux fraîches du Guadalquivir juste avant las Marismas…
Le fils ne suivit pas le père dans la carrière royale de découpeur-de-taureau-en commençant-par-les-oreilles mais opta pour l’art paisible du portrait flatteur…
Il en fit de jolis pour les Grands et les moins grands d’Espagne sous le nom
d’emprunt de Francisco G.
Il spécula ensuite dans l’immobilier touristique de la Côte andalouse…
Ce n’est que plus tard, à la retraite qu’il ouvrit 243, Avenida Alphonse XIII à Madrid sa fameuse boucherie chevaline…