A la fin du repas, il attaqua son morceau de bravoure :
L’allegretto un poco amoroso de la 2ème sonate en ré dite “à la roumaine” de Jean-Sébastien Bacchus.
Ce qui s’ensuivit est encore dans toutes les mémoires des “ Beuveurs tres illustres et des Verolez tres precieux “