C’était au temps de mon adolescence… la figure de Fédor Gouzmich, le fou de Dieu reconnu comme le Tsar Alexandre III ne m’a jamais quitté, elle s’est confondue avec celle du « pèlerin russe », ce texte anonyme et admirable de l’orthodoxie russe…
Une image qui rejoint les moines taoïstes, les clochards célestes, les errants franciscains… les fuites simenoniennes ou le destin de Robert Walzer…